
Allez, encore une couche de Paul Auster. Diable, j'ai vu ce matin même sa trombine dans le Journal de Montréal (quand on va bruncher, faut savoir se contenter d'une presse de caniveau). Il vient d'être décoré si je ne m'abuse Chevalier des Arts et des Lettres, il faisait face à l'objectif avec son sérieux habituel. Il a pris un coup de vieux quand même, pour le coup ses 60 ans il les fait vraiment. J'ai un peu l'impression de tomber sur la photo récente d'un vieil oncle que j'aurais perdu de vue pendant quelques temps. Merde, ça m'a fait quelque chose dis donc. Le jour où on distinguera Paul-Loup Sulitzer de la Légion d'Honneur, je vous mets mon slip en gage que l'émotion m'étreindra moins.
Bref, reprenons. Cette fois-ci, Léviathan. Rien à voir à première vue avec le traité de ce cher monsieur Hobbes, quoi que... Pas question ici de philosophie politique ni de doctes analyses de gouvernement. Léviathan, monstre mythique et dévorant trouve son équivalent ici dans la personnalité explosive de Benjamin Sachs, l'ami de notre narrateur qui se fait sauter à la dynamite dès la première page.
"L'Homme est un loup pour l'Homme" affirmait Hobbes. Je ne vous ferai pas le coup de la critique ni celle du "résumeur" cul-terreux. Si je laisse un petit espace pour ce bouquin, c'est pour dire merci à tonton Paul de me faire lire des choses qui étrangement trouvent souvent des résonnances directes avec ma petite vie d'apprenti cloporte. Je suis nombriliste ce soir et si ça vous plaît pas, z'avez qu'à tracer, la porte est ouverte. Bon pour conclure (j'en vois qui roupillent au fond), si vous faîtes partie de ceux qui s'étonnent toujours de voir débouler des virages inattendus, le bouquin devrait vous plaire. Les potes c'est vraiment pas du tout-cuit.
Nota bene: ceux et celles désirant me faire parvenir lettres d'insulte, quolibets et moqueries pour ce message piteux et suintant, peuvent se décharger allègrement dans les commentaires. Avec ma bénédiction.
Bref, reprenons. Cette fois-ci, Léviathan. Rien à voir à première vue avec le traité de ce cher monsieur Hobbes, quoi que... Pas question ici de philosophie politique ni de doctes analyses de gouvernement. Léviathan, monstre mythique et dévorant trouve son équivalent ici dans la personnalité explosive de Benjamin Sachs, l'ami de notre narrateur qui se fait sauter à la dynamite dès la première page.
"L'Homme est un loup pour l'Homme" affirmait Hobbes. Je ne vous ferai pas le coup de la critique ni celle du "résumeur" cul-terreux. Si je laisse un petit espace pour ce bouquin, c'est pour dire merci à tonton Paul de me faire lire des choses qui étrangement trouvent souvent des résonnances directes avec ma petite vie d'apprenti cloporte. Je suis nombriliste ce soir et si ça vous plaît pas, z'avez qu'à tracer, la porte est ouverte. Bon pour conclure (j'en vois qui roupillent au fond), si vous faîtes partie de ceux qui s'étonnent toujours de voir débouler des virages inattendus, le bouquin devrait vous plaire. Les potes c'est vraiment pas du tout-cuit.
Nota bene: ceux et celles désirant me faire parvenir lettres d'insulte, quolibets et moqueries pour ce message piteux et suintant, peuvent se décharger allègrement dans les commentaires. Avec ma bénédiction.